et prier pour gagner la loterie. Les gens du quartier se rappelèrent alors que cet arbre avait été heurté à 3 reprises par des véhicules dans le passé mais que à chaque fois les conducteurs n'avaient pas été bléssés, ce qui fut attribué à la bénédiction du Roi des Singes. Dans les jours qui suivirent la foule devint de plus en plus nombreuse, avec parfois des milliers de personnes rassemblées, ce qui causait des problèmes de circulation. Certains visiteurs dirent avoir vu des images de la déesse Kwan Him et du Dieux éléphant Ganesh dans les arbres alentours. Les chercheurs du S. P. I ( Singapore Paranormal Investigations) se sont rendu sur place et ont constaté un fort rayonnement électro-magnétique se dégageant de l'arbre. Un des premiers à avoir remarqué cet arbre fut un vieil homme du quartier qui a pris le temps d'écrire un texte calligraphié à l'encre rouge, qui est désormais affiché prés de l'arbre, ce texte dit: "Il y a 3 ans un singe divin est venu chercher son père, le Roi des Singes prisonnier dans cet arbre.
5 Mai 2017, Rédigé par Gilbert Publié dans #Fleurs-Fruits, #Photos cliquez sur les photos pour les agrandir De son nom scientifique "c ouroupita guianensis", originaire d'Amérique du Sud, le "boulet de canon" ("cannonball tree") est un arbre que l'on peut voir assez fréquemment en Thaïlande. Je vous ai déjà présenté sa fleur (voir) sans en connaître le nom... Les thaïs le nomment สาละลังกา (prononcez "sala lang") faisant référence au Sâla, un arbre sacré pour le bouddhisme (mais qui est en fait d'une autre espèce, shorea robusta). Pour cette raison, on le trouve principalement dans l'enceinte des temples. Voici donc quelques photos supplémentaires de cet arbre et de ses fleurs magnifiques, prises dans deux temples différents dans la région de l'Isaan. Cet arbre étonnant a été découvert et répertorié par le botaniste français J. F. Aublet en 1775. L'arbre mesure jusqu'à 30 à 35 mètres de hauteur. Il porte des fruits ronds et lourds qui rappellent des boulets de canon (! ) et qui peuvent tomber brusquement.
Le processus de réintroduction est encore en cours", insiste Rungroj Aswakultarin. Car si le lotus est réapparu dans une partie du lac de façon spontanée, les graines semées depuis à proximité des pontons de promenade n'ont pas encore porté leurs fruits. "Avec de l'eau et un environnement favorable, les lotus peuvent pousser d'eux-mêmes, nous n'aurons pas à les planter", espère Rungroj
Matin de printemps... quelques écharpes de brume voilent encore la vallée, mais ici, sur nos montagnes, déjà le soleil réclame toute sa place... Une brise légère fait frissonner les arbres, et leur murmure me raconte la terre et sa solidité, l'obscurité et les racines, la soif et la pluie. Marcher le matin dans la forêt, admirer la lumière qui se faufile à travers les petites feuilles à peine ouvertes me remplit de paix et de joie. Les arbres ont toujours été importants dans notre tradition: c'est assis au pied d'un arbre que le Bouddha s'est éveillé à la vérité du monde, c'est au creux d'un bosquet qu'il est mort quelque 80 ans plus tard. Forêts et parcs couvraient alors le nord de l'Inde et lui et sa communauté y méditaient souvent, abrités du soleil brûlant. Dans de nombreux pays bouddhistes, l'arbre est compagnon et refuge, aimé et respecté car il est celui qui s'élance, qui relie la terre et le ciel. Les plus anciens, aux troncs énormes et souvent creux, deviennent des temples naturels, recevant fleurs et offrandes, aussi vénérés que des ancêtres.
Le banian est un arbre à part. Que ce soit par sa forme, sa croissance et sa symbolique, il a acquis dans la culture bouddhiste une place unique. C'est un arbre sacré, que chacun se doit de respecter et d'honorer. Sans lui l'Éveil du Bouddha n'aurait eu lieu. Un arbre honoré quotidiennement Il n'est pas rare de voir en ville comme à la campagne, en Asie, des arbres entourés d'écharpes de couleurs (des khatas), avec à leur pied des mini-temples et dans les racines ou coincées sur les branches de petites statues de personnages mythiques. Les khatas symbolisent la bonté, la compassion et la chance. Ils sont généralement placés sur une catégorie précise d'arbre, celle des figuiers sauvages ou de la grande famille des ficus. Leur meilleur représentant est sans aucun doute le banian ou banyan. Un arbre et un symbole universel Cet arbre est d'une grande importance dans l'Hindouisme et le Bouddhisme. Il porte plusieurs noms: arbre de Bodhi, arbre de la sagesse, arbre de la connaissance. Il est l'arbre qui accueilli Siddhârta qui le protégea du soleil grâce à sa large canopée.
Plus il est connu et réputé, plus l'amulette sera chère. Encore une chose avec laquelle on ne rigole pas en Thaïlande: si vous montrez scepticisme et moquerie sur les pouvoirs magiques de tel ou tel objet, jamais on ne vous initiera aux immenses possibilités que vous offrent ces pendentifs. Vous voilà prévenu! Les bracelets brésiliens sont-ils à la mode ici? C'est plus qu'une mode, c'est un acte religieux! Ces petits bracelets en coton sont tissés par les bonzes. Tout comme pour le bracelet brésilien populaire en France dans les années 80, il faut réaliser un vœu avant de le porter et attendre que le bracelet se casse de lui-même. Le bonze l'accroche aux poignets des personnes qu'il veut remercier pour une bonne action. Comme de participer à une fête de temple. Ou bien aider au ménage. Même les touristes y ont droit et sont fiers de les porter. L'image de tolérance envers les non-bouddhistes n'en sortira que mieux renforcée. Pour les Thaïlandais, c'est un signe extérieur de bonne conduite.